Publié par 20 Minutes

Benoit Brayer, directeur pôle Musique

BenoitBrayer.jpegPourquoi être passé du nom de Fnac Indétendances au festival Fnac Live ?
Le mot « indépendant » n’a plus la même résonnance aujourd’hui. De plus, nous voulions un terme générique autour des actions de soutien aux artistes (showcase, mise en valeur dans les rayons, etc.). Mais l’esprit reste le même : une manifestation gratuite mélangeant artistes reconnus et scènes émergentes. Nous voulons être un trait d’union entre le festival Solidays et Rock en Seine. Le reste de l’année, nous investissons des festivals régionaux comme le Printemps de Bourges, Rio Loco (Toulouse), les Eurockéennes (Belfort) ou la Fiesta des Suds (Marseille).


Essuyez-vous des critiques du fait que votre marque soit dans le nom de l’événement ?
Nous ne sommes pas sur les modèles que nous pouvons trouver habituellement en Europe. Nous sommes en effet producteur et possédons plus de légitimité – en comparaison à certaines banques ou téléphonies mobiles – du fait de notre statut de leader de vente de billets. Le live est le centre du secteur de la musique. A ce titre, nous sommes fiers de positionner Christophe en pleine soirée électro, d’avoir la seule date estivale de Catherine Ringer ou bien de programmer des révélations comme Oh La La, Selah Sue ou Nasser.

Et concernant la Fête de la musique ?
Une quinzaine de concerts gratuits sont organisés à 18h30. Exemples : Cascadeur et des découvertes régionales à Rennes (esplanade De Gaulle) ; Joseph d’Anvers, Zeitoun, Jean-Françoise et Moongai au Mans (place de la République) ; Mamani Keita, Tzingari et Cordéone à Tours (place de la Victoire) ; ou Jamaica, Imany, Ronan Sirl et Tiny & Strong à Lyon (parc des Berges).


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