Publié par Longueur d'Ondes


Découvert dans un tremplin en 2009, le quatuor des Yvelines nous avait impressionné avec son premier album (« Everybody’s god », 2010), sorti l’année suivante...

Gush-Mira.jpgSensation reconfirmée sur scène où les quatre frangins/cousins jouaient les chaises musicales, s’échangeant les rôles (chant, guitare, batterie réduite à son essentielle) et les années (60’s, 70’s). On attendait donc beaucoup du second, espérant voir se renouveler leurs incroyables harmonies vocales mises au service de la pop, la soul ou du funk.

Sauf que leur impressionnante tournée et leur nomination aux Victoires semblent avoir eu raison de cette récréation hippie. Exit les Beatles, Beach Boys ou autres échos à Crosby, Stills & Nash (and Young). Bonjour les 80’s clinquantes !

Pas que l’ambiance électro-disco-dance nous déplaise – l’album est très correct (notamment grâce à quelques fulgurances électro) –, mais le groupe perd parfois en sincérité lo-fi et en épaisseur, ce qu’il gagne en boule à facettes...

Z’avez pas vu « Mira » ?



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