Gatha « Renaissance » (E.P.)
Cassures de rythmes et voix à grain, la tendresse du violoncelle parasité par les embruns de l’électro… La Bordelaise a su gagner en profondeur : bravo.
Et même si on aimerait parfois l’entendre hurler, appliquer un même lâcher prise ou dénuement dans les arrangements que dans ses textes, les chauds-froids y sont pertinents.
Car c’est bien dans toute sa fragilité que l’artiste y ait la plus belle.
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(Universal / Klakson)