Publié par Le Progrès

Jeune compositeur et homme de studio, il multiplie les projets tentaculaires pour 2006.

Multi-instrumentiste dijonnais expatrié sur Lyon, Nicolas Drey manie tout autant le piano, le saxophone, la guitare ou les sons électroniques que les différents styles d’écriture. Et même si l’artiste a prouvé sa polyvalence, il n’en demeure pas moins que ses créations conservent une douce tonalité nostalgique à la Yann Tiersen.

Rien d’étonnant donc à le voir illustrer les courts-métrages de Remi Mouret, photographe surréaliste et sculpteur lyonnais. Puisant dans ses expériences personnelles, Nicolas Drey avait influé une dimension poétique à son premier film « Real tue vie », sortit en 2004. Le second opus, plus comique, sera finalisé au printemps.

Sursaut créatif

S’en suit une participation à la post-production de l’album oriental de Khalid H. pour début février. Dernièrement, il vient d’écrire des musiques pour le conteur épique Soren et la chanteuse normande Anne’so. L’album de son nouveau groupe pop-rock The Big Lemon Project, dont il écrit les textes et les musiques, sortira en septembre. Rien ne semble plus l’arrêter.

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