Merlot « Chanson d’Amour… et de Haine » (Boxson / Anticraft)
Révélation des Francofolies 2008, l’ancien chanteur des Baobab abandonne un temps le reggae.

La mélodie ensoleillée prend son temps et ne sombre jamais dans la surenchère. N’épargnant pas certains clichés démagogiques (sexe, marijuana, etc.), le propos se veut tout de même sincère et requière ainsi rapidement la sympathie de l’auditeur. Et c’est bien là tout son atout.
Son pseudonyme en est d’ailleurs involontairement plus que symbolique. Pas le plus grand vin, certes, mais une vinasse conviviale qui sent le vécu. Hop ! Directement au goulot, le bouchon flottant dans la bouteille. Parce que ça fait du bien par là où ça passe.
LIEN
> MySpace